La présidente du PDL, Abir Moussi, a tenu, ce lundi 7 septembre 2020, une conférence de presse où il a été question de l’attentat terroriste qui a visé hier une patrouille de la Garde nationale à Sousse.
Abir Moussi a tenu à souligner que son parti a maintes fois mis en garde, déposé des plaintes et rapporté aux différents chefs du gouvernement des données et documents prouvant l’existence de toute un système en Tunisie qui nourrit les terroristes. Elle a dénoncé le laxisme de l’Etat face à la prolifération d’associations ayant des liens avérés avec des organisations classées terroristes, à l’existence publique de partis qui prônent l’instauration du califat et son indifférence devant la volonté manifeste de certaines parties d’enterrer sciemment des dossiers relatifs à l’embrigadement des jeunes et à leur déplacement puis retour des zones de tension, menaçant de recourir aux plaintes devant des instances internationales.
La présidente du PDL a aussi mis en garde le chef du gouvernement Hichem Mechichi contre l’octroi d’une autorisation à la coalition Al Karama.
Abir Moussi a enfin affirmé que son parti allait recourir aux plaintes internationales contre l’Etat tunisien « s’il continue à faire preuve d’autant de laxisme devant le dossier du terrorisme et à couvrir les parties qui entretiennent le terrorisme et qui le nourrissent dans le pays ».
« La Tunisie doit respecter ses engagements, les conventions qu’elle a signé et les décisions du Conseil de sécurité. Il y a des décisions à prendre ! Il s’agit d’un dossier de sûreté nationale et le président a des données et nous l’appelons à agir ! » a-t-elle conclu.
La présidente du PDL a aussi mis en garde le chef du gouvernement Hichem Mechichi contre l’octroi d’une autorisation à la coalition Al Karama.
Abir Moussi a enfin affirmé que son parti allait recourir aux plaintes internationales contre l’Etat tunisien « s’il continue à faire preuve d’autant de laxisme devant le dossier du terrorisme et à couvrir les parties qui entretiennent le terrorisme et qui le nourrissent dans le pays ».
« La Tunisie doit respecter ses engagements, les conventions qu’elle a signé et les décisions du Conseil de sécurité. Il y a des décisions à prendre ! Il s’agit d’un dossier de sûreté nationale et le président a des données et nous l’appelons à agir ! » a-t-elle conclu.