Au Kenya, Facebook va bientôt commencer par signaler les fausses informations sur sa plateforme. Le réseau social a annoncé, hier, qu’il accomplirait cette tâche, en collaboration avec Africa Check, un organisme indépendant de vérification des faits, avec l’aide des utilisateurs.
L’entreprise de Mark Zuckerberg a pris cette décision pour endiguer le flot de fausses informations qui déferlent sur sa plateforme.
L’Agence France-Presse (AFP) participera également au projet. Si un article est identifié comme une « fake news », Facebook le rétrograde dans le fil d’actualités et avertit les utilisateurs qui tentent de le lire. Le réseau social partagera ensuite sous l’article les versions de ses partenaires chargés de la vérification des faits, immédiatement.
Selon Facebook, ce programme de vérification des faits s’exportera, après le test du Kenya, dans d’autres pays africains. Cette méthode avait également été envisagée dans certains pays européens.
Avec Agence Ecofin
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