Dans le cadre de la controverse provoquée par le redus du bureau de l’ARP de règlement relatif à la classification des Frères musulmans en tant que mouvement terroriste en séance plénière, Qalb Tounes ‘ Cœur de la Tunisie » souhaite clarifier à l’opinion publique ce qui suit:
Face aux tensions et contradictions politiques provoquées par plusieurs réglementations qui ont été utilisées par les différents partis politiques représentés à l’Assemblée populaire pour effectuer des manœuvres politiques et occuper des positions éloignées des préoccupations réelles du peuple tunisien, le Parti Qalb Tounes a décidé depuis le lancement de ces réglementations de ne pas voter sur celles-ci car elles sont devenues un élément de conflit et de division entre les tunisiens et les tunisiennes, affaiblissant l’État et un moyen de servir les agendas étrangers connus qui menacent la souveraineté nationale et la cohésion communautaire.
Le Parti du cœur de la Tunisie considère que la guerre de réglementations que certaines parties cherchent à imposer aux travaux du Conseil et à les détourner de ses préoccupations fondamentales représentées dans la priorité face à la crise économique et sociale suffocante que traverse le pays est une forme de compétence stérile qui ne fait qu’augmenter en profondeur et perturbe la concentration du chemin nécessaire pour en sortir.
Il est également considéré que personne n’a le droit de distribuer des actes nationaux et républicains, et l’amour de la Tunisie en particulier par ceux qui l’ont été et quelle époque des prédécesseurs louent la dictature.
Il n’y a pas de place aujourd’hui pour s’efforcer de diviser les Tunisiens par la polarisation bilatérale et les conflits idéologiques au service d’intérêts étroits partisans, qui sont devenus l’une des raisons pour pousser le pays à plus de retraite et notre peuple à plus de pauvreté et de marginalisation.
Qalb Tounes avait auparavant condamné chaque discours fondé sur l’expiation, il condamne fermement le discours qui adopte la trahison et les erreurs qui ont affecté les dirigeants du parti en tant que président, chef de son bloc, vice-président et membre du bureau du parlement. Alors que le parti condamne fermement la diffamation, l’incitation de ses dirigeants, il se réserve le droit de recourir au pouvoir judiciaire pour suivre son cours et mettre fin à tous ceux qui le parlent en portant atteinte à la dignité et à la réputation d’autrui.