Oui, après moult requêtes, la cour de cassation a enfin ordonné la libération de Nabil Karoui, candidat au second de l’élection présidentielle en Tunisie.
Il ne reste plus donc que deux jours, jeudi et vendredi (samedi étant consacré au silence électoral) pour ce candidat de faire sa campagne électoral, afin de briguer le suffrage des Tunisiens face à son rival Kaïs Saïed.
Le 13 octobre au soir, on saura qui doit succéder au défunt Beji Caïd Essebsi de regretté mémoire au palais de Carthage.