Le lundi 25 mars 2024, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution exigeant un « arrêt immédiat des hostilités » à Gaza. Contrairement à leurs précédentes actions, les États-Unis se sont cette fois abstenus de bloquer cette résolution.
Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, a salué cette adoption et a souligné l’importance de mettre en œuvre cette résolution pour assurer un cessez-le-feu immédiat à Gaza et la libération des otages.
Il a également averti que ne pas appliquer cette résolution serait inexcusable. Le Hamas a accueilli favorablement cette résolution adoptée par le Conseil de sécurité de l’ONU et s’est déclaré prêt à procéder à un échange « immédiat » de prisonniers avec Israël.
Le ministre de la Défense d’Israël a déclaré à Washington que tant que le Hamas ne libérera pas les otages, Israël ne mettra pas fin à sa guerre à Gaza, même après le vote du Conseil de sécurité de l’ONU en faveur d’un « cessez-le-feu immédiat ».