Lamia Fourati, membre du bureau politique du parti Cœur de la Tunisie, a confirmé, le jeudi 19 septembre 2019), lors d’une conférence de presse que les principaux axes du parti de la Cœur de la Tunisie étaient principalement de conclure un contrat national contre la pauvreté, de mettre en place une économie ouverte pour l’investissement ainsi que de mettre en place une économie de la connaissance, d’assurer la gouvernance moderne et de renforcer la gouvernance. L’existence de compétences en Tunisie.
L’économiste Iyad Eloumi, pour sa part, a déclaré que le programme politique du parti Cœur de la Tunisie consistera à allouer un budget social, le budget de l’ État et le budget des communautés locales, ainsi que la création d’un système de santé publique développé et indépendant.
Loumi a annoncé que l’équipe gouvernementale serait en nombre limité, afin de garantir la qualité et la rapidité des performances du gouvernement, ainsi que de regrouper les ministères selon les domaines de l’économie et de l’éducation, conformément au programme politique du parti.
Le programme politique mettait également l’accent sur la réalisation d’un audit complet du bilan, la réduction du coût des travaux de l’administration, la cessation de la licence du népotisme et l’élimination de l’économie rentière, la mise en place d’un système de surveillance du mécanisme financier et l’adoption des moyens internationaux les plus récents, en plus du partenariat entre les secteurs public et privé.
L’économiste Sadek Jebnoun a expliqué que l’un des points du programme économique du Parti du Cœur de la Tunisie consistait à créer une révolution économique basée sur la libéralisation des énergies avec la levée de tous les obstacles entravant les investissements et un ajustement radical du système d’échange, tout en œuvrant à la stabilité fiscale pour renforcer la confiance des investisseurs.
Lors de la conférence de presse, il a également été confirmé que le programme du parti visait à absorber l’économie parallèle afin d’augmenter les revenus, de bénéficier des retraités avec un minimum de salaire minimum garanti et d’augmenter le produit national brut.