L’économie tunisienne souffre d’énormes accumulations de problèmes structurels et formels qui en ont fait un dilemme qui a rendu impossible le démantèlement des nombreux obstacles à travers les méthodes traditionnelles dominantes, en particulier les hommes successifs de l’État, et pour tous ceux qui ont tenté de relancer la situation économique au cours de la dernière décennie, ils étaient prisonniers de la bureaucratie, la culture qui gère l’esprit hiérarchique et l’arsenal procédural.
C’est l’un des concepts confondus par un étrange mélange de concepts imbriqués sous-tendu par le socialisme brutal et le libéralisme qui a conduit à cette farce de l’effondrement de l’idée d’État qu’est le parrain et garant de la sécurité et de la paix sociale et son remplacement par les empereurs de l’économie parallèle.
Il serait peut-être naïf pour certains de croire que les petites économies des pays en développement et des pays pauvres sont des îles indépendantes et n’ont rien à voir avec le tissu économique mondial contrôlé par les grandes entreprises transcontinentales ou que la valeur réelle de la richesse nationale est une norme boursière mondiale.
Il est vraiment regrettable que la plupart des économistes, s’ils sont en position de responsabilité ou en marge du pouvoir en tant que conseillers consciemment ou inconsciemment, nous animent avec des approches numériques sèches qui peuvent en surprendre beaucoup, mais en réalité ils sont loin des conditions de vie de la majorité de la société créative et le véritable producteur de richesse et de nourriture est un exemple en termes de discussion sur les prix des produits de première nécessité.
Ils n’arrêtent pas de parler des prix du pétrole et du gaz, des devises étrangères et des prix des minerais à l’échelle mondiale, et ils ignorent complètement le salaire minimum national.
Ces deux économies ne sont que rares, surtout lorsqu’on discute des problèmes d’institutions publiques telles que Tunisair, Régie nationale des tabacs et des allumettes ou Phosphate gafsa, sauf en présentant des tableaux et des inter-cartes indiquant que ces institutions publiques devraient être transférées au secteur privé avec une indication de préférence pour les entreprises étrangères.
Le plus douloureux est le refus de certains syndicalistes, pas tous anticolonialistes, avec une sévérité au-delà de toute description de passer à côté de ces institutions, pour découvrir plus tard qu’elles sont des joints essentiels avec les gangs de corruption brisant ces institutions.
Soyons courageux comme l’ancien ministre tunisien des Finances, M. HousseinDimassi, qui a déclaré que la hache est tombée sur la tête et qu’il faut travailler sérieusement avec la culture de l’amélioration de la productivité et de la bonne gouvernance et du retrait des institutions publiques des griffes de la féodalité des gangs appauvris de certains syndicalistes et corrompus influents.
Cette introduction que j’ai écrite présente quelques-uns de quelques faits et données et ce qui est caché est plus grand, juste pour transmettre à tous les patriotes qui sont jaloux de l’intérêt du pays et des gens de notre pays la Tunisie, chantant notre souffle, chantant nos vies et le tissu de l’espoir d’un meilleur présent pour nous et d’un avenir radieux pour nos enfants et petits-enfants. Je vous transmets une initiative, depuis ma position, l’avocat et militant politique, le professeur HazemKsouri, et je vous assure qu’il s’agit d’une initiative moderne, créative et révolutionnaire par excellence, avec l’appel à former un lobby national pour faire pression pour la mise en œuvre de cette initiative afin de sauver toutes les institutions publiques nationales et à quiconque souhaite développer et encadrer l’initiative, c’est accessible àtous les patriotes pour activer cette initiative.
La philosophie de l’initiative est basée, comme le dit le professeur Hazem, sur le fait que si ces institutions doivent être manquées, alors la préférence va au capital national tunisien, et ici le professeur Hazem a souligné le mot capital national, pas les propriétaires du capital, et s’il n’y a pas objection à leur participation à ceci et à cela dans le cadre de la création d’une société anonyme tunisienne composée de travailleurs, administrateurs, experts, etc. dans l’institution.
Prenons l’exemple de la société Phosphate Gafsa, où les travailleurs et ingénieurs de l’entreprise, les entreprises de transport et les ouvriers de l’horticulture deviendraient partenaires de la nouvelle société par actions qu’ils choisiraient et géreraient leur nom et planifieraient tous les détails sur l’exploitation du phosphate dans les mines avec un contrat d’exploitation clair qui protège les parties avec l’Etat tunisien en tant que représentant du peuple tunisien, le propriétaire initial de ces actifs, avec un contrat clair, oblige la nouvelle société par actions à faire le meilleur usage des mines et payer sans délai la valeur d’exploitation à l’Etat tunisien, c’est-à-dire dans l’intérêt du peuple tunisien.
Ensuite, les propriétaires de la nouvelle société par actions et le propriétaire du contrat d’exploitation déploieront un maximum d’énergie pour améliorer leurs ressources en augmentant la productivité, ce qui améliorera le niveau de tous les partenaires, y compris les travailleurs, les ingénieurs et les actionnaires du capital national , soulageant ainsi le charge pesant sur l’État et du groupe national, ce qui se traduit par davantage de ressources pour améliorer les performances, au rythme du développement au niveau national.
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