Le ministère public tunisien a décidé, mardi, d’arrêter le vice-président du Mouvement « Ennahdha », Ali Larayadh, et de le déférer, mercredi, au Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme, dans l’affaire des réseaux d’envoi des jeunes vers les zones de conflits.
C’est ce qui est ressorti des déclarations faites aux journalistes, à l’aube du mardi, par Samir Dilou, un des avocats du président du Mouvement, Rached Ghannouchi, et son adjoint, Ali Larayadh.