Le porte-parole du comité de coordination d’El Kamour., Khalifa Bouhouech, a qualifié les décisions prise par le conseil ministériel sur la situation dans le gouvernorat de Tataouine, de décevantes et a assuré que le comité publierait un communiqué afin d’expliquer sa position.
Il a également indiqué, que les habitants de Tataouine tiendraient un sit-in du côté du champ pétrolier de Nawara pour exprimer leur mécontentement..
A rappeler le Conseil ministériel réuni, mercredi 1er juillet 2020, pour discuter de la situation dans le gouvernorat de Tataouine, a décidé de recruter 500 personnes avant la fin de l’année en cours, de pallier les obstacles relatifs au fonds d’investissement de la région et de débloquer, via la Banque tunisienne de solidarité (BTS), des fonds supplémentaires au profit des institutions de microcrédit.
Le Conseil a également approuvé la tenue d’un conseil régional extraordinaire pour l’investissement au siège du gouvernorat de Tataouine dans les jours à venir.
Il a souligné, également, que l’Etat s’engageait à honorer ses promesses sur l’employabilité et le développement suivant une nouvelle approche basée sur les projets structurels et les opportunités qu’offre l’économie sociale et solidaire.
ministère de l’Energie, des mines et de la transition énergétique Tunsien a indiqué le 1er juillet que les cours mondiaux du pétrole brut ont poursuivi leur tendance baissière sous l’impact de la crise de Covid-19 et de la possibilité d’une reprise de la production libyenne sur les marchés.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août, a atteint 41,1 dollars, soit une baisse de 1,46%, et le prix du baril de West texas intermediate (WIT) a baissé à 39,09 dollars, avec une baisse de 1,54%.
Les prix du pétrole sont toujours impactés par les craintes d’une deuxième vague d’épidémie de Covid, dont la fin ne semble pas encore proche, surtout que le nombre des décès a dépassé 1 demi-million et le nombre mondial de cas de contamination au Coronavirus a dépassé la barre des 10 millions.
Des observateurs ont déjà formulé leurs craintes de voir la pandémie du COVID-19 s’aggrave davantage. Les avertissements de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) donnent raison à ces craintes en
L’absence de vaccin et les avertissements de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)ont poussé des observateurs à exprimer leurs craintes de voir la pandémie du COVID-19 s’aggrave davantage.
Sur un autre plan, la reprise de la production pétrolière en Libye, est un facteur déterminant de l’offre et de la demande de pétrole. Celle-ci est passée de plus d’un million de barils par jour à moins de 100 mille barils par jour après la fermeture de champs pétroliers et des ports par les alliances du maréchal Khalifa Haftar.