La séance plénière commune entre la Chambre des représentants du peuple et le Conseil national de la Confédération et des régions a repris ses travaux sur les tâches et les missions spéciales du projet de budget de l’État pour 2026 en présence de Brahim Bouderbela, président de la Chambre des représentants, et M. imed Derbali, président du Conseil national des députés et des régions et membres des deux conseils.
La séance plénière tenue dans la matinée du lundi 24 novembre 2025, était prévue pour discuter de la mission des technologies de la communication du projet de budget de l’État pour 2026, en présence de M. Soufiene Hamissi, ministre des Technologies des Télécommunications et de sa délégation.
Bouderbela a exprimé lors de la session l’importance croissante de ce secteur vital, doté d’une imprimante en développement, spécialisé dans la teinture technologique qui stimule les développements accélérés sur le terrain et travaille à l’employer au service des dimensions du développement pour les projets tant publics que privés.
Il a affirmé le financement de ce ministère pionnier pour redoubler d’efforts et intensifier ses programmes dans la période à venir afin de consacrer les piliers de la transformation numérique, devenu l’un des outils les plus importants pour atteindre le développement économique et social, les intérêts du Central, le Atmosphère et diverses institutions sous supervision pour poursuivre les travaux sur le renforcement des piliers de l’intégration numérique et financière pour toutes les catégories sociales et la simplification des procédures administratives et leur numérisation, afin d’assurer une mise en œuvre complète des services numériques et d’établir une gestion numérique réussie et transparente dans le service du citoyen et de l’institution économique.
Il a également souligné que les attentes de ce ministère sont élevées et que la fonction législative de ses conseils renouvelle sa coopération et sa réponse avec toutes les initiatives, programmes et réformes de développement, en particulier les réformes législatives, qui feront avancer ce secteur et s’assurent qu’il reste au courant des nouveaux développements et des changements.
L’ouverture du conseil dans la période à venir a également confirmé l’organisation et la programmation des journées scolaires dans le cadre de l’académie parlementaire avec la participation de différentes parties prenantes pour débattre de divers sujets pertinents et atteindre l’ajout de qualité escompté.
Le comité pour le développement, la numérisation, la gouvernance et la lutte contre la corruption à la Chambre des représentants et le comité pour les plans de développement et les grands projets du Conseil national des régions et des régions ont présenté leur rapport conjoint sur la mission des technologies de la communication à partir du projet de budget de l’État pour 2026.
Cette entreprise a été influencée par le débat public dans la première partie sur les interventions des membres du Conseil national des départements et des régions, présidé par M. Imed Derbali, président du Conseil national des députés et des régions, et dans la deuxième partie sur les apports du membres de la Chambre des représentants, présidée par M. Anwar Marzouki, Vice-Président de la Chambre des représentants du peuple.
Et les sujets suivants sont abordés :
▪️S’interroger sur l’avancement du portefeuille numérique de l’administration et le développement des services administratifs en tant qu’important pilier pour le développement, la lutte contre la corruption et l’élimination de la bureaucratie des intérêts citoyens.
▪️S’interroger sur le plan de travail du ministère et sur la façon d’y intervenir pour faire face à la répétition des difficultés techniques de certains systèmes nationaux, semblables au système de passation des marchés publics en ligne (TUNEPS).
▪️Accélérer la mise en œuvre du programme de l’interconnexion entre les différents ministères et structures publiques.
▪️La nécessité d’achever la transition numérique, qui représente une opportunité prometteuse de stimuler l’investissement et de réaliser un décollage économique.
▪️La participation des énergies de la jeunesse pour déplorer leurs idées dans le domaine de la digitalisation, qui est témoin d’évolutions accélérées.
▪️La nécessité de réglementer le secteur du commerce électronique pour celui-ci a des possibilités importantes pour soutenir l’économie nationale.
▪️Création d’une plateforme numérique au profit des Tunisiens vivant à l’étranger pour faciliter leurs transactions administratives.
▪️S’interroger sur les raisons de la non-activation des lois fondamentales concernant la carte d’identité nationale biométrique et le passeport biométrique.
▪️S’interroge sur la stratégie de l’État pour tirer parti des opportunités offertes par l’intelligence artificielle.
▪️La demande de données statistiques sur les infractions liées à des témoignages falsifiés dans les missions au niveau du ministère en relation avec les tendances du dossier des témoins.
▪️S’interroge sur la stratégie du Ministère visant à limiter la migration des professionnels qualifiés dans le domaine de la technologie, surtout face à ce que le monde assiste à la demande croissante de leur polarisation.
▪️Référence à la grave pénurie de bureaux de poste et à la perturbation des distributeurs automatiques, entraînant un surpeuplement important et des difficultés d’accès aux services postaux dans de nombreuses régions.
▪️La demande de restructuration de certains centres de tri postal, intensifiant le fonctionnement des services de courrier mobile et la création de nouveaux bureaux dans de nombreux domaines.
▪️Enquête sur le projet de création d’une banque postale, pourquoi ce projet est d’une grande importance pour atteindre l’intégration financière des classes sociales.
▪️ L’étendue des progrès dans la réalisation des conditions croisées liées à l’organisation des services de prestation.
▪️La nécessité de trouver les solutions appropriées pour surmonter les formes de faiblesse des infrastructures, le manque ou l’absence de couverture du réseau de communication et combler le fossé numérique entre les parties.
▪️Appel à une révision du cadre législatif réglementé pour les technologies informatiques, de la communication et du numérique, en suivant les développements accélérés dans ce domaine.
▪️Enquête sur le plan du Ministère visant à renforcer la cybersécurité dans le contexte de cyberattaques croissantes, à garantir la sécurité des systèmes d’information et à protéger les données personnelles, ainsi qu’à réglementer les conditions de mise en œuvre de l’information avec une augmentation significative du nombre de demandes.
▪️Appeler à un organisme national, c’est suivre le contenu de l’espace numérique, et travailler à soutenir le contenu ciblé avec l’âge des sanctions dissuasives contre toute personne qui publie du contenu numérique inapproprié.
▪️ Soulignant la nécessité de protéger les symboles nationaux et les personnalités publiques contre les cyberattaques et les campagnes de diffamation qui se propagent à travers les pages des médias sociaux payantes, en établissant un plan complet pour surveiller et traiter efficacement ces pages.
▪️Soulignant la nécessité de soutenir Tunisie Telecom en tant qu’institution nationale capable de supporter les charges et d’assurer la protection des données personnelles des citoyens.
Suite aux interventions des députés, M. Soufiene Hamissi, ministre des Technologies des Télécommunications, a assuré que la sphère numérique n’est plus un secteur technique, mais est devenu un moteur essentiel de l’économie nationale et un instrument de gouvernement des différentes structures du pays.
Il est à noter que le Ministère des Technologies des Télécommunications travaille horizontalement et transversal avec tous les ministères et structures publiques, contribuant à la réalisation de 152 projets numériques dans différents domaines. Considérant que la Tunisie a connu un retard dans le domaine de la numérisation en raison des publicités de fond qui ont commercialisé un certain nombre de projets sans être mis en œuvre et traduits sur le terrain.
Le ministre a déclaré qu’un certain nombre de procédures ont été entièrement numérisées sur la base de l’orientation universitaire, du budget des voyages et des services consulaires à travers le lancement du portail des services consulaires Econsulat, le système interconnecté a été circulé pour qu’un citoyen n’est plus nécessaire pour l’administration d’avoir un document, et cette procédure comprend plus de 80 services. Elle a été assurée sur le système d’interconnexion en coordination avec les intérêts du ministère de l’intérieur, du ministère de l’enseignement supérieur, du ministère des affaires sociales et du ministère du travail et de la formation.
Le ministre des Technologies de la Communication a souligné que l’orientation du ministère en 2025 sera essentiellement axée sur l’accélération du paiement des projets interrompus, à l’instar du projet d’identification biométrique et de passeport biométrique, qui a identifié certaines des variables liées à la formation. Dans ce contexte, il est clair que la réhabilitation de tous les grands systèmes d’information de l’administration a été lancée, au Ministère de la santé, les travaux ont commencé avec le dossier médical électronique unifié et le système hospitalier numérique, et le Ministère de la justice a commencé à travailler avec le système d’Ejustice, et des travaux sont en cours pour achever la numérisation de tous les dossiers relatifs aux propriétaires de l’État paysan et autres Agriculteur auprès du ministère de la propriété de l’État et des affaires immobilières, ainsi que le système national unique d’identité avec le ministère des affaires sociales. L’insistance du ministère pour poursuivre la mise en œuvre de la numérisation renforçant les services publics, malgré une certaine résistance des entités administratives, soulignant que le ministère a établi une feuille de route claire pour 2026.
En ce qui concerne les services postaux, le ministre a affirmé que la facilité postale est essentielle dans la vie quotidienne d’un citoyen et que le ministère est dans une course contre la montre pour résoudre beaucoup des problèmes causés par des années de négligence, et que toutes les demandes de mise en place de Les bureaux de poste dans différentes directions, qui représentent 100 demandes, ne peuvent pas être répondu. Considérant que créer un bureau de poste signifie trouver le siège et les ressources humaines.
La pénurie du nombre d’aides est due au retour de la politique de clôture des marchés depuis 2016, et a indiqué que le ministère a ouvert un débat pour recruter 260 aides, et les résultats seront annoncés au cours du premier trimestre 2026. Un autre débat intitulé 2026 devrait s’ouvrir pour allouer un autre nombre d’aides, ainsi que pour adopter un programme pour attirer l’aide d’autres départements.
En ce qui concerne les distributeurs automatiques, M. Soufiene Hamissi a déclaré que le Ministère a présenté une demande d’offre et signé l’annonce de l’autorisation de fournir, et que la concentration de tous les distributeurs sera terminée dans les deux prochains mois, et qu’un deuxième accord pour acquérir un autre paquet de distributeurs sera annoncé.
En ce qui concerne la loi fondamentale de la poste, le ministre a précisé que le projet de texte a été présenté au conseil d’administration, qui a soumis des propositions supplémentaires, et le ministère, en cours d’étude, entend l’inclure et l’intégrer à la réalité des institutions et structures impliquées dans le dossier.
En ce qui concerne la banque postale, le ministre a souligné que la fourniture de services bancaires par la Poste tunisienne est nécessaire pour résister à l’exclusion financière, mais la banque postale ne peut pas fonctionner en vertu de la loi actuelle sur les institutions financières, donc le ministère étudie encore quelques problèmes techniques.
Le ministre a confirmé qu’il y avait une différence significative entre les régions en termes de couverture Internet, le ministère a convoqué tous les États en coordination avec l’État et les autorités pour identifier avec précision ces zones, et a appelé les intérêts de l’Autorité Nationale des Télécommunications à forcer les opérateurs pour remplir leurs obligations. En ce qui concerne la fibre optique, le ministre des Technologies des Télécommunications a noté que le coût de cette technologie était scandaleux et a indiqué que l’opérateur national avait surveillé des investissements d’environ 300 millions de dinars pour le développement des
En ce qui concerne les émissions collectives, le ministre a précisé que la réduction de 50 % des enseignants interrogés avait été approuvée et que le ministère a programmé les dettes, mais le ministre n’a pas le pouvoir de payer la totalité de la dette.
En ce qui concerne la cybersécurité, il a réaffirmé que les systèmes de l’État sont sûrs et que la sphère de la cybersécurité a considérablement évolué et que nos relations avec nos fournisseurs personnels devraient changer. Il a indiqué que le tableau des termes relatifs aux demandes de taxi individuelles est prêt, qu’il a été préparé en coordination avec le ministère des transports et sera publié dans un avenir proche.
En ce qui concerne les sites des médias sociaux, le ministre a fait remarquer que les solutions d’interdiction ne sont pas proposées. Bien qu’il ait été convenu avec les trois opérateurs d’imposer une supervision parentale pour tous les abonnements à Internet, il est souligné que cette question présente un intérêt au plus haut niveau.
En ce qui concerne les startups et l’entrepreneuriat, il est évident qu’elles rencontrent certaines difficultés mais elles obtiennent de bons résultats, et le ministère travaille actuellement à modifier la loi sur les startup.
Le ministre a scellé son intervention certainement que le ministère a promis de déposer les 657 travailleurs des postes qui vivent dans une situation d’exploitation fragile, et va régler ces situations même si la loi anti-manipulation ne s’applique pas et elle sera étudiée au cas par cas.












































