La Journée mondiale de l’environnement a été célébrée pour la première fois en 1972, et s’est développée avec le temps pour devenir l’un des principaux moyens de communication des Nations Unies pour stimuler la conscience environnementale mondiale et encourager l’action politique.
C’est un événement annuel dont le but est de susciter le plus d’actions écologiques positives possibles à l’échelle mondiale, afin d’attirer l’attention du public sur les problèmes environnementaux.
Le Ministère d’Affaires Locales et l’Environnement célèbre cette année la journée Nationale et mondiale de l’Environnement le 05 juin 2019, sous le slogan « la pollution atmosphérique » , une question environnementale affectant tous les individus, les communautés, les industriels et les institutions afin de préserver des efforts et des initiatives pour améliorer la qualité d’air dans les villes et les communautés en fournissant les possibilités disponibles dans le domaine des énergies renouvelables et des technologies propres.
La pollution atmosphérique menace la santé humaine, les systèmes naturels et l équilibre environnemental, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le nombre de personnes décédées est environ 7 millions en 2012.
La Tunisie a promulgué la lois de Qualité de l’air Numéro 34 de 2007 du 04 juin 2007, qui a pour objectif d’empêcher et réduire la pollution atmosphérique, aussi bien que régler des procédures pour le contrôle de qualité de l’air qui garantit le droit de citoyens à un environnement sain.
Des entreprises industrielles ont aussi préparé des programmes de décontamination dans quelques zones industrielles, commençant par la promulgation de décret N° 2519 de 2010 du 28 septembre 2010 et le 18 mai 2018, le décret Gouvernemental N°447 de 2018 a été approuvé, mettant les limites maximales et les limites d’alarme pour la qualité de l’air.
En plus l’approbation de décret Gouvernemental N°448 de 2018 du 18 mai 2018, fixant la méthode de travail du réseau national pour le Contrôle de Qualité de l’air comment le lier et l’utiliser , l’approbation de décret Gouvernemental N°449 du 18 mai 2018, précisant les normes et la liste tarifaire pour le montant de réconciliation dans le délit de qualité de l’air.
Le Ministère d’Affaires Locales et l’Environnement, en coopération avec les institutions sous tutelle, a exécuté des programmes importants dans le suivi de l’environnement naturel et l’air particulièrement.
Des progrès significatives ont été constatés tels que la concentration de systèmes pour le suivi de l’air et l’environnement .
Le réseau national a fixé un système central pour le suivi de la qualité de l’air qui rassemble des informations de diverses stations fixes et les laboratoires mobiles pour contrôler la qualité de l’air et établir 32 stations fixes pour le suivi de la qualité de l’air composé d’un groupe des instriments de mesures des colorants de l’aairet l’environnement et de
02 laboratoires de contrôle de qualité de l’air mobiles aussi bien qu’une base de données de l’information contenant des données de qualité de l’air pour toutes les zones poursuivies, et mis à la disposition des partis concernés.
Un système d’information pour la modélisation numérique de prévision sur la qualité de l’air, des applications de l’information qui intègrent les données sur le sol et les polluants avec des prévisions de la prédiction de qualité de l’air.
Dans son allocution M.Mokhtar Hammami , le ministre d’Affaires Locales et l’Environnement a précisé que notre pays a aussi cherché à prendre des mesures pour empêcher et réduire la pollution atmosphérique par :
-L’introduction de plans d’améliorer la qualité de l’air dans les grandes villes .
– Contrôler les unités industrielles les plus polluées d’air en les liant directement au réseau.
– Le soutien des industriels techniquement et financièrement par le Fonds de Résistance de Pollution pour développer leurs systèmes de production en adoptant des technologies propres et concentrant l’équipement de décontamination;
– Aide technique aux unités industrielles pour l’élimination de substances appauvrissant la couche d’ozone.
– Le développement d’un plan national pour la suppression progressive d’hydrochlorofluorocarbures (HCFC), particulièrement dans la réfrigération
et les secteurs de climatisation, pour éliminer environ 1.3 millions de tonnes d’équivalent de dioxyde de carbone avant 2030.
– Une orientation ambitieuse « aux engagements définis sur le plan national, NDC », atteinte de 30 % dans la domaine des énergies renouvelables pour la production d’électricité en 2030 et améliorer le rendement énergétique, particulièrement dans le secteur de transport et de construction.
– Lancer des stratégies de développement urbaines participatives dans 9 villes et un programme durable de villes dans l’Horizon 2030.